Et puis, soudain, voici un dénouement...
La séparation
et les hypocrisies
décentes
quand les âmes déménagent.
L'abandon ensuite,
et tout ça qui ne regarde
déjà plus
que les souvenirs
et les souvenirs,
tu sais bien,
ne sont que des bandelettes.
La chasse, les hommes
et les femmes.
Toutes ces chansons
de pacotille comme
des éclairs qui poignardent
les dos creusés
de confiance.
Et les villes, oui,
les villes pourtant,
qui n'ont jamais pu
vivre sans ça...
Et puis, longtemps après les
sourires,
les épines restées
sous la peau,
avec le temps
elles s'incrustent
comme le mouvement
de l'histoire
devant les hommes.
On a mal sans comprendre.
Pour être soulagé,
il faut demander l'aide
de quelqu'un.
Et puis, soudain,
voici un dénouement...