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A l'endroit où les superlatifs deviennent liquides...

J'avais pris l'habitude,

me dit-il,

d'embrasser son cou

à l'endroit

où les superlatifs

deviennent liquides

et ses jambes de danseuse

sortaient du plafond.

Ensuite, nous partions

en voyage

sur un pneu

de tracteur

qu'un gros chien

tirait

depuis le bord

de la rivière.

Il était doux le vent.

Au rond point,

à droite,

le jour s'approchait,

silencieux,

et, déjà,

quelque chose de sombre

menaçait nos visions

d'enfants de la rue.

Nous, tout ce qu'on

voulait,

alors, c'était

grandir.

Je comptais sur ses vices

pour nous ramener

à la maison...

 

 

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