Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Une peau comme la tienne

« Tu sais, les hommes frappent les portes à s’en briser les poings et c’est juste histoire de vous prouver qu’ils souffrent, qu’ils ont des scrupules.  A présent je me moque un peu de tout ça. Rien que des poses. Du bruit. Du vent. A présent, tu sais, j’ai le visage bouffi et la peau blanche d’un vieux  barman de nuit. Comme je regrette de ne pas t’avoir suivie.  Pourquoi ne l'ai-je pas fait? Oh...j'ai toujours eu du mal à prendre les choses en mains. Et puis je n'ai pas une peau comme la tienne. Capable de tout garder à l'intérieur... »

 

(Photo Frédérick Jeantet)

 

Commentaires

  • Suffirait peut-être de se laisser pousser le poil ... parfois sous le glabre, le fil du rasoir te pousse un psoriasis de cul tanné qu'aucun soleil ne peut darder, couchant au lever ce qu'aucune mise digne au grand jour ne pourrait éveiller sous aucun ongle ; et quand vient le grand soir, que tu te lèves, si c'est seulement pour saluer du coude le barman afin de montrer sans rien en laisser voir ton rable , autant faire le marinier, accentuer la circonflexion, & y clouer tous les bordages ; partir en louvoyant , ou en loup boitant, hurlant . Fidèle à soi-même, ?

  • Oh Zarma. Merci de votre passage. A vous lire, encore, ici ou là-bas...

Les commentaires sont fermés.