...
Parfois, me dit-elle,
les filles ont presque
peur de vieillir.
Parfois, les chiens
redoutent le jour
où leur maître
ne pourra plus
les nourrir.
Parfois, me dit-elle,
on fredonne en
vivant nos vaines
expériences.
Parfois, la musique
est juste un
commentaire du film...
Commentaires
La nuit, les voleurs ont peur de se faire voler leur âme. C'est comme un violoncelle mélancolique devant l'abîme du passé, du leurre éphémère de la vie. Cette nuit là, tu étais venue cambrioler du côté de mon coeur, réglée comme du papier à musique.
Qu'as tu fais de ce butin au petit matin ? Ta concupiscence t'as t'elle conduite vers tous ces receleurs de l'amour ?
"Ou bien dans la chambre où tu t'endors, où soudain tout me déserte et t'oriente selon les mystérieux indices du prochain matin, tu coules au milieu de tes rêves dans l'enivrement d'être si seule, et travaille avec délices pour les voleurs de nuits toute une ruche de mauvaises abeilles" (Julien Gracq)
La nuit, les voleurs ont peur de se faire voler leur âme. C'est comme un violoncelle mélancolique devant l'abîme du passé, du leurre éphémère de la vie. Cette nuit là, tu étais venue cambrioler du côté de mon coeur, réglée comme du papier à musique.
Qu'as tu fais de ce butin au petit matin ? Ta concupiscence t'as t'elle conduite vers tous ces receleurs de l'amour ?
"Ou bien dans la chambre où tu t'endors, où soudain tout me déserte et t'oriente selon les mystérieux indices du prochain matin, tu coules au milieu de tes rêves dans l'enivrement d'être si seule, et travaille avec délices pour les voleurs de nuits toute une ruche de mauvaises abeilles" (Julien Gracq)