Se sentir comme Mats Wilander, cette année-là...
J'ai avalé mon scotch,
me dit-il,
et tout à coup,
c'est comme si
une cigogne
s'était mise
à charger un éléphant.
Une fois dehors,
heureusement,
il faisait froid.
Heureusement...
Le veille, déjà,
je m'étais levé
avec un goût
de brume d'oreiller
dans la bouche.
Je me sentais
comme Mats Wilander,
cette année-là.
Mon jeu m'ennuyait
avant d'ennuyer
les spectateurs...