Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

C'est ça, tu dormais...

Le jour où j’ai décidé de partir,

d’abord tu dormais.

La neige a fondu en larmes,

l'air de dire,

débrouille-toi mon garçon,

mais trouve ton premier amour,

ensuite le travail de tes rêves

et peut-être apprendras-tu, 

à la fin, que vivre,

à force, augmente le risque

de devenir aveugle.

Le jour où...

c'est ça, tu dormais.

Et puis, je suppose que,

quand  tu as rouvert les yeux, 

il y a eu ce parfum de fleurs tombées.

Les commentaires sont fermés.