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  • Un chèque morcelé en trois...

    Avec toi, je déplore

    que le mercredi ne survive plus,

    désormais,

    que comme supplétif

    de l’une ou l’autre de ces grandes forces:

    celle de l’après dimanche,

    principalement

    une affaire de clin d’œil fictif

    et tout ça qui vous désarçonne

    autant que le souvenir d’une peau

    douce comme une goutte de lait

    sur une langue tant soit peu polissonne ;

    et puis ce jour d’avant :

    le dernier des derniers de la semaine,

    où l’espoir d’une ivresse de qualité,

    le désir de vivre ne serait-ce

    qu’à hauteur d’un plat de nouilles

    et cette croyance aveugle

    dans la force du style,

    ressemblent de plus en plus

    à un chèque morcelé en trois…