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Sans déranger les choses...

L’amour d’une poignée de lentilles qu’on laisserait compoter à feux doux dans un peu d’huile d’olive....

Les films de Renoir où  dans « ce monde terrible chacun a ses raisons...

Le rugby toulousain des années 90, parce que, voilà c’est foutu, je radote...

Un tas de regards saisis à la volée...

Des séquences sans lien entre elles, comme dans ce cinéma-liberté, vous savez. Ce cinéma de la rencontre : des yeux–des mots-des morceaux d’espace et toutes les histoires qui se tissent à partir de là...

Et toi qui me chuchote pour finir: ici, il s’agirait, presque à chaque fois, d’entrouvrir une porte, d’entrebâiller délicatement une fenêtre pour voir ce qui se passe-se trame juste derrière. On s’attarderait quelques minutes avant de rebrousser chemin, comme ça,à reculons, tout doucement, sans déranger les choses, en laissant les situations vivre leur vie, mourir de leur belle mort...

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